20 mars 2017

Il levait les yeux de son livre (il lisait toujours, dans le train) et retrouvait le paysage morceau par morceau — le mur, le figuier, la noria, les roseaux, les récifs —, les choses qu’il avait toujours vues et qu’il n’apercevait que maintenant, parce qu’il s’en était trouvé éloigné : c’était, chaque fois qu’il y revenait, la manière dont Quinto reprenait contact avec la Riviera, sa région natale.