13 août 2017

Maigret, les mains derrière le dos, la pipe aux dents, marchait lentement, ne poussant qu’avec peine sa lourde masse dans la cohue de la rue Saint-Antoine qui vivait sa vie de tous les matins, avec du soleil qui ruisselait d’un ciel clair sur les petites charrettes chargées de fruits et de légumes et sur les éventaires qui encombraient presque toute la largeur du trottoir.