9 déc. 2016

En cette année 1925 où l’on vit fleurir l’idylle de la mulâtresse Gabriela et de l’Arabe Nacib, la saison des pluies s’était à tel point prolongée au-delà du temps normal et nécessaire que les fazendeiros, semblables à une bande d’oiseaux affolés, se croisaient dans les rues en s’interpellant les uns les autres, la peur dans les yeux et dans la voix.