Comme chantait le poème :
De Musashino
blancs nuages effilochants
aux cimes des panicules d’eulalias.
mais il y a de cela bien longtemps déjà, on pouvait admirer les masures aux toits de jonc tressé, le couchant sur l’étang où s’essoraient les bécassines, car c’était encore l’époque où l’on ignorait tout de cette vue nocturne de la Grand-Rue.
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8 mars 2019
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